Sortie Aspres sur Buëch, été 2019.

Les Canards ont installé leur camp d’été au camping du Chevalet, où l’accueil de Cécile et Fred est toujours aussi chaleureux.

Nous avons volé principalement sur le site de la Longeagne, atterrissage sur l’aérodrome très pratique car jouxtant le camping. En revanche, nous avions loué un camion pour effectuer les navettes, le chemin d’accès au décollage n’étant pas des plus praticables.

La navette a été unanimement plébiscitée, y compris par d’autres pilotes bien contents de pouvoir en profiter au tarif canard (8 € par montée au déco).

Les conditions furent mitigées, pas un seul plafond supérieur à 3000 mètres, c’est rare durant cette période d’été.

D’autres sites furent utilisés, notamment le col de Mens par vent du nord.


Le vent du nord a soufflé, nous obligeant à partir pour le col de Mens (le Courtet).
Après l’effort, le réconfort…

L’orchestre des Canards en plein concert.

MILLAU, août 2017

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Délaissant les Alpes, les Canards sont allés voler à Millau, 25 ans après leur dernière sortie dans l’Aveyron !

Le site a évolué, les décollages ont été aménagés et peuvent accueillir beaucoup de pilotes. Il faut dire que le site attire beaucoup de monde, pilotes, touristes et surtout biplaceurs qui peuvent faire jusqu’à 10 baptêmes par jour. Quand on sait qu’il y en a une bonne vingtaine qui travaillent à Millau, cela donne une idée du nombre de baptêmes quotidiens. On peut aussi y voler en ULM comme le fit Gérard, venu avec son appareil sur la remorque.

Les conditions étaient ventées en début de stage, ce qui est souvent le cas à Millau. Ainsi les décollages sont parfois difficiles, comme on peut le voir sur cette vidéo :

Grégoire finira par décoller non sans mal.

Pareil pour Nicolas qui aura attendu longtemps que le fort vent de travers se calme un peu.

 

Bébé est bien à l’abri du vent et du soleil, Papa prépare sa voile :

En milieu de séjour, nous avons bénéficié de bonnes conditions, avec des plafonds à près de 3000 mètres, pas si fréquents dans cette région :

En fin de semaine, le vent passait au nord-ouest, ce qui nous permettait de voler à Brunas, au bord du plateau du Larzac. Là encore, les conditions au décollage étaient fortes, mais une fois en l’air, on a pu faire le plafond et nous promener (en tout cas en delta) du viaduc jusqu’à la Couvertoirade.

Et quand on ne vole pas à Millau, on peut se baigner dans le Tarn, la Dourbie ou la Jonte, visiter les gorges, les villages splendides ou les avens, nombreux dans cette région.

 

Week-end des 10 et 11 septembre

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Avec ces chaleurs inhabituelles, rien de tel qu’un vol pour se rafraîchir. Samedi, le vent de SO soufflait déjà en matinée, Piotr a quand même pu décoller au treuil pour parfaire sa formation. L’après-midi le vent a forci jusqu’à 30 kmh, et seuls les deltas ont volé en remorqué. Les thermiques dérivaient beaucoup mais tout le monde a pu se reposer au terrain.

Encore un petit vol au treul pour Piotr en début de soirée, il a pu enrouler son premier thermique de paline.

Dimanche matin fut consacré aux travaux d’élagage : l’arbre situé contre le hangar commence à être envahissant, et toutes ses feuilles tombent à l’automne dans la gouttière, qui finit par se boucher.

On a donc tronçonné toutes les branches qui gênaient, ainsi qu’une excroissance sur le pied qui menaçait de bloquer la porte.

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Tant qu’à couper, autant le faire pour de bon !

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Manillio tire sur la corde, pour éviter que la branche tombe sur les caravanes.

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Il a fallu réparé la gouttière, elle avait pris cher.

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Mario coupe les hautes herbes qui en avaient bien besoin…

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.. sous la surveillance du propriétaire de la débroussailleuse.

On espérait une éclaircie dans l’après-midi, elle n’est pas venue. Dan a pu décollé en rigide et voler 30 minutes dans de petites conditions, avec 8/8èmes de couverture nuageuse. Il sera le seul à voler, le vent qui avait tourné de 90°, passant par-dessus les maïs, envoyait des rouleaux au décollage. On aurait pu transporter le matériel sur la piste ouest, mais on l’a joué fainéant.

 

Stage de Séderon, 23 juillet au 7 août 2016

Les premiers canards sont arrivés samedi en fin de journée, se sont installés au camping et ont eu la surprise d’apprendre qu’une fanfare de 40 personnes s’y installait le week-end suivant (le camping fait 21 emplacements…).

La deuxième vague est arrivée le lendemain, sous la pluie.

Lundi, un petit vent de nord soufflait. Avant de monter au décollage, nous passons en revue les atterrissages, notamment celui de Villefranche au nord, et celui de Séderon au sud. Nous avons décollé de Bergiès, pour un vol d’une heure avant l’arrivée des orages.

Surveillance des atterrissages, dans la brise forcissante

Surveillance des atterrissages, dans la brise forcissante

Rebelotte le mardi, avec des plafonds un peu plus hauts (2500 m) et encore des orages.

Mercredi, l’ouest rentrait, seuls les parapentitstes ont volé, Christophe et Jean s’étant sacrifiés pour redescendre les véhicules !

Le jeudi ne s’annonçait pas fameux, ce fut la journée consacrée aux biplaces.

Le décollage nord, vu depuis le biplace

Le décollage nord, vu depuis le biplace

Décollage de Jean-Louis en biplace

Vendredi ne s’annonçait toujours pas extraordinaire, et encore ouest. Nous sommes malgré tout montés à Bergiès où le vent est rapidement passé travers. Seul Jean-Louis a réussi à décoller, les autres ont replié. Nous nous sommes alors dirigés vers la montagne de Buc, où le vent était dans l’axe, mais un peu fort. Christophe et Jean-Louis décolleront les premiers, puis Grégoire a suivi en biplace avec Marie-Thérèse. Les décollages s’enchaînaient, mais le vent forcissait. Mario, après avoir longuement attendu une accalmie, a volé une demi-heure, juste récompense de sa persévérance.

 

La journée de samedi, commencée sous la pluie, fut consacrée au changement de camping.

Les tentes, à moitié repliées, ont voyagé dans le camion

Les tentes, à moitié repliées, ont voyagé dans le camion

Nous sommes passés d’un camping bondé à un endroit désert, puisque nous étions les seuls campeurs, sur environ 5 hectares.

 

Dimanche 31 fut de nouveau pluvieux, la journée s’est terminée à Sederon où la fanfare et un orchestre de jazz ont essayé d’égayer la soirée.

 

Le mistral s’est levé lundi, et seul Christophe a décollé dans le vent fort.

Christophe décolle dans le vent fort.

La journée n’a pas été perdue pour autant, un atelier repliage de parachute étant improvisé au camping.

On n’est pas trop de trois pour retenir le parachute du biplace.

Les conditions du lendemain furent assez moyennes, du coup on montait à Buc pour le deuxième vol de la journée, dans de l’ouest soutenu.

 

Mercredi s’annonçait assez mal, le déco nord étant rapidement passé sous l’influence du vent d’ouest. Les parapentes qui partirent les premiers dans une rare bouffe de face se faisaient descendre rapidement vers l’atterro, et les pilotes qui restaient au déco étaient partagés entre la fléchette vers Villefranche, ou le repliage au sommet. Finalement, contre toute attente, le nord reprenait le dessus suffisamment longtemps pour que tous puissent non seulement décoller, mais aussi monter au plafond dans une dérive assez forte d’ouest.

 

Un fort vent de sud était annoncé pour jeudi, les prévisions ont été vérifiées. Les derniers décollages se sont réalisés dans du vent fort, idem pour les atterros. Ce fut le seul décollage sud du séjour.

Décollage de Vincent, Bergiès sud

Tout le monde étant posé de bonne heure, nous avons passé le reste de la journée dans les gorges du Charuis  pour une session canyoning dans une eau plus que rafraîchissante.

Les bassins du Charuis où l'on peut faire trempette dans de l'eau à 18°

Les bassins du Charuis où l’on peut faire trempette dans de l’eau à 18°

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Vincent  saute dans une vasque peu profonde.

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Apparemment, cela lui a beaucoup plu !

 

Les orages éclataient le soir, obligeant chacun à regagner sa tente.

 

On a tondu une piste avec le tondobroyeur

Il avait été livré jeudi, réceptionné par Eric.

On l’a déballé samedi matin, et mauvaise surprise, on a constaté que le filtre à air était cassé, et que le pot d’échappement situé à coté avait reçu un coup.

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On voit le coup sur la partie gauche du pot, et le filtre à air en 2 morceaux. Le vendeur que nous avons contacté nous a demandé des photos pour remplacer la pièce.

Il a fallu ensuite sortir la machine du cadre en acier dans lequel il avait été livré. Le broyeur pèse 250 KG, on s’y est mis à plusieurs en essayant de préserver nos abattis !

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Christophe découpe le cadre à la meuleuse, notez l’utilisation d’EPI et des chaussures de sécurité.

Après quelques tergiversations, en particulier sur la façon de monter les roues (le manuel de montage se résume à quelques photos inexploitables), un bricolage pour faire tenir le filtre à air avec de la suspente, le remplissage du réservoir et du carter d’huile, on a pu démarrer le moteur, qui est parti au quart de tour.

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On n’a pas résisté à l’envie d’utiliser notre nouveau jouet, on l’a donc attelé à la Xsara de Manillio, pour tondre la petite piste devant la ferme. C’est rapide et efficace.

On pensait ensuite tondre les pistes ULM, mais le proprio les avait broyées dans la semaine.

Par contre, personne n’a volé, le ciel s’étant chargé très rapidement. On n’a eu que quelques gouttes de pluie, suffisantes pour remettre le treuil et le matériel à l’abris, et lorsque le ciel s’est découvert en fin d’après-midi, on n’a eu le courage de tout ressortir.

 

1er remorqué de l’année à la Belle Idée

La météo particulièrement mauvaise de ce printemps ne nous avait pas encore permis de remorquer. On a recommencé hier dimanche 15/05, je ne me souviens pas d’une date de reprise aussi tardive les années passées.

Ce fut aussi la reprise pour plusieurs canards, au treuil :

Vincent et Thomas, qui n’avaient pas volé depuis plus d’an an, et Pierrot, qui ne s’était pas secoué les ailes depuis l’Ascension 2015.

Sylvère a pu profiter d’une éclaircie fugitive pour enrouler dans des conditions assez turbulentes, mais le ciel qui s’est très vite refermé l’a obligé à se poser.

On a aussi vu GG, venu nous voir en se rendant à l’aérodrome de Château-Thierry

Le biplace delta a été remonté, il est prêt à accueillir ses passagers.

Rendez-vous à la Belle Idée le week-end prochain, si la météo n’est pas trop pourrie…….